Retour d’expérience sur la Non Localité


la recherche / mercredi, janvier 31st, 2018

… et réflexions sur l’importance de travailler à plusieurs…

Une expérience significative (pour moi) a eu lieu. Enkidou qui a l’appareil Music of the Plants a récupéré ma banque de sons et de commandes MIDI liée à la musique des plantes. Avec son ordinateur, le U1 (le boitier de Music of the Plants créé par Damanhur et vendu, en France, par Jean Thoby qui permet de faire chanter les plantes) et mes claviers (entendre par là, les banques de samples et de commandes), il est allé rendre visite à un membre de sa famille pour lui faire une démonstration. C’est tellement beau et fort de pouvoir partager ces premiers moments, quand des gens qui ont vécu avec des plantes depuis si longtemps les entendent pour la première fois. Je vous assure que ça motive 😉

Donc, il arrive, branche tout son « bordel » et son hôte lui désigne la plante choisie. Elle semble réagir instantanément comme si c’était une habituée du process. Et voilà qu’elle ouvre la liste Itunes. Là, elle lance un morceau. Mais les deux enfants de la maison d’une voix commune s’insurgent : « Non, ce n’est pas celle là qu’on aime, c’est… » et elles donnent un titre. Voilà la plante qui arrête la musique, avance sur la liste de morceaux, trouve le bon morceau et hop le fait jouer… sans interruption ?!

Enorme ! Pour moi, c’est juste énorme. Pourquoi ? Parce que je vous rappelle que lors de nos premiers travaux, quand il s’agissait de trouver un prénom, la plante avait eu une longue phase d’apprentissage, de recherche. Puis, d’expérience en expérience, tout allait plus vite. Mais, pour moi, je me disais que c’était parce que : d’une part, je prenais confiance et de l’autre, les plantes ayant déjà travaillées étaient dans l’environnement immédiat de toute nouvelle plante qui découvrait nos installations. Damanhur avait déjà relevé cela. Qu’une plante ayant travaillé pouvait informer une nouvelle plante, juste en étant en sa présence.

Or, là, rien de cela. Une plante qui ne connait pas l’appareil. Un utilisateur qui ne connait pas les réglages précisément (seul celui qui conçoit ces claviers le sait) et la plante exécute parfaitement une commande aussi complexe ?! Ok, les filles étaient certainement dans une confiance et une croyance totale que la plante avait ses capacités, mais quand même…

C’était il y a un an. Et depuis, je ne cesse de repasser ce scénario dans la tête. Pour moi, mais il faudrait évidemment, comme à chaque fois, d’autres retours, c’est une histoire de [itg-tooltip tooltip-content= »<p>Le <strong>champ morphogénétique</strong> (ou « champ morphique », « résonance morphique » ou « champ de forme ») est une expression qui définit un champ hypothétique qui contiendrait de l’énergie ou de l’information sans être constitué de matière (atome, électrons, etc.). Ces champs seraient déterminants dans le comportement des êtres vivants notamment en ce qu’ils hériteraient d’habitudes de l’espèce par « résonance morphique » et que leurs actions influenceraient les dits « champs de forme »</p> »]champs morphique[/itg-tooltip] qui serait informé de nos travaux et permettrait aux plantes d’y accéder sans problème de localité. Une sorte de conscience extérieure commune. Un network quoi ! Un peu aussi comme avec l’histoire du centième singe.

Bien sûr, au départ, il fallait vraiment que les plantes travaillent, apprennent à utiliser les claviers et pour que le travail se continue, la proximité physique des autres plantes semblait importante. Maintenant, ça serait révolu !?

Dément, non ?

Du coup, j’ai une demande à vous faire…

Je suis en train d’essayer de la faire écrire (voir l’article sur le clavier d’écriture) et c’est vraiment difficile. Tout est à prendre en compte : les lettres, leurs usages, comment les activer, etc.

Donc, chacun d’entre vous, s’il vous plait, passez le message, apprenez à votre plante à écrire « Je suis la ». Expliquez lui comment on fait. Montrez-le lui. Faites un exercice d’apprentissage de l’écriture devant elle en ayant en tête que cet apprentissage est aussi adressé à elle. Pour l’instant, ces simples mots : « JE SUIS LA ». Voir si je les retrouve dans ses nuits de travail avec les claviers d’écriture. Et dites-moi, dans les commentaires, si vous l’avez fait.

D’avance merci (déjà d’avoir lu jusque là)

P.S. Si vous avez des potes instit, dites leur d’emmener une plante dans la classe et de lui faire cours (sans le faire ouvertement, je ne voudrais pas que vous ou vos amis soyez pris pour des fous ;)) de l’associer au cours, de l’intégrer comme un élève de la classe.

Je compte sur vous 😉

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