Attention, ce qui suit est une discussion technique entre « expérienceurs ». C’est donc dense et touffu, mais ça peut intéresser ceux qui sont sur la recherche. D’où la présence de ces échanges ici. Ils remontent au début de mes expérimentations et relatent les premiers épisodes jusqu’à l’après concert du Grand Rex. On y voit bien les questions que nous pouvons nous poser et il y a quelques perles qui sont inséminées ici ou là sur les interactions avec les Plantes, leurs besoins, leurs attentes, etc. A lire donc si vous êtes, comme nous, des mordus 😉
23/09/15 – Alexandre
Alors pour te donner les infos techniques, j’ai rajouté tout ce que tu m’as demandé au clavier. J’ai 3 secondes de vide avant chaque mot : En G#1 = merci, A1 = oui, A#1 = Socrate (le chien), B1 = Rose (ma grande fille qui ne vit pas avec nous), C2 = Alexandre, C#2 = Galiléo, D2 = rien, D#2 = Damanhur, E2 = Paris, F2 = Gaujacq (lieu de vie du Botaniste Jean Thoby), F#2 = rien, G2 =…, G#2 = Jean, A2 = Jérôme, A#2 = Hervé, B2 = Luc (l’équipe de recherche de Jean T), Rien entre C3 et G#5, A5 = Daphné, A#5 = Timéo, B5 = Frédérique (la famille de Jean T), C6 = Claire, C#6 = Chaussette (le chat de la maison), D6 = Hélia, D#6 = Lina
Du coup, je n’ai pas changé les places de nos noms et du oui et merci, par contre j’ai viré le non, mais j’ai refait tous les enregistrements pour laisser vraiment plus de 2 secondes (plutôt autour de 3) avant de prononcer les prénoms. Bien sûr, ce n’est pas en « One shot » pour l’obliger à rester appuyé pour déclencher le nom.
Elle a déjà retrouvé l’usage du merci, oui, Claire, Hélia, Lina et a dit Frédérique (vers 20:30 qui est juste avant le mot Claire (B5 et C6) et qu’elle a dit dans la foulée)
J’ai un mot en plus au milieu mais qui n’a rien à voir avec notre histoire… si jamais tu vois une note qui revient anormalement, je te dirai ce que c’est
A vite
24/09/15 – Alexandre
Et voilà que le bambou commence à utiliser les noms… pour l’instant c’est plus de l’ordre recherche je pense….
Ca a commencé à 22h30 par Frédérique
22h33 les 3 villes
22h34 Galiléo, Alexandre
puis encore Damanhur.
Son rythme a complètement changé. Lent et un son après l’autre. Il en vient à l’instant à Luc, Hervé, Jérôme, Jean, puis repasse par les villes et va jusqu’à Galiléo, une Note après l’autre comme s’il prenait connaissance avec les mots cachés derrière les notes.
Mon réglage de Rate est au minimum donc il a une vitesse de fou sous les pattes. Pourtant là il égrène les notes calmement l’une après l’autre… (Là j’arrête d’écrire et je l’aide à monter dans les aigus)
Elle a d’abord géré du milieu vers le bas, puis du milieu vers le haut avec mon aide Et vient de s’arrêter après avoir réussi à dire les prénoms du haut. J’ai quelques minutes de l’enregistrement de son travail. C’est juste saisissant. Je suis tellement heureux d’avoir pu saisir ça ! Fais entendre ça à n’importe qui et il comprendra… Waouh !!!!
Recherche des mots par le bambou Arundinaria
Le Kentia avait fait pareil.
Par contre, ça pose une question… le kentia bien que pas branché était dans la même pièce et pourtant il m’a semblé devoir faire le même travail avec le bambou, même si je connaissais mieux les étapes.
Le bambou était dans notre chambre soit à l’étage au dessous. Il n’a donc jamais vu le Kentia travailler, ni clairement entendu. Par contre, étant dans notre chambre, il a surement senti les histoires qui se passaient dans ma tête…
C’est vrai qu’il a fait le travail du Kentia en accéléré (cet aprem depuis 16h30 jusqu’à 22h30 dans la découverte. Avec des sons très rapides et beaucoup de modulation, puis l’arrivée du premier déclenchement de nom et du coup un ralentissement. D’abord il a fait la descente, puis la phase que tu entends et qui était un peu plus longue. Vu que quelques minutes avant, je lui jouais les notes aigus pour l’aider à venir de ce côté là. Elle a tout de suite répondu en montant, mais est passée (comme dans l’enregistrement) sur les notes sans déclencher. Puis elle ralentit en continuant à faire et refaire sa montée jusqu’à déclencher tous les noms du haut (pas au dessus de Claire où il reste Chaussette, Helia et Lina) puis s’est arrêtée. Complètement ! Comme si elle avait fait sa première étape. Du coup j’ai rebranché le Kentia (comment s’appelle-t-il en vrai) et il est dans une forme olympique. Il module à dix mille à l’heure. C’est incroyable !!!!
01/10/15 – Jean
Mon retour d’expériences au niveau des plantes donne ceci:
1°) les plantes sont collectives et non individuelles. Nous pouvons manger des salades , tant que l’espèce existe , l’entité de la variété existe . Tout dépends de notre mental en le faisant. Elles ont prévue cela, cela fait partie de leur adaptation. Un peu comme des cheveux, si on en enlève un, rien ne change….
2°) les plantes peuvent apprendre de nous , de la musique ( je fais jouer du jazz à un Tricyrtis lors des concerts botaniques, mais ce n’est pas leur but, que de se conformer à une forme d’égo qu’elle n’ont pas. C’est juste une démo. qu’elle accepte de faire pour une pédagogie.
3°) par contre , nous avons à appendre des plantes , si nous , nous sommes réceptifs, alors nous apprendrons des choses fabuleuses. Plus nous sommes réceptif, plus il y’a de sons….
4°) les plantes ne s’occupent que du positif, elles connaissent le négatif mais ne l’utilise pas. C’est pour cela que tant qu’on apprends des sons de la plantes il y en a , si on veut l »’éduquer » cela ne l’intéresse pas vraiment , elle est si instruite………
En conclusion et si tu veux bien seulement, je souhaiterais que tu programmes les choses suivantes avec ta plante, les noms des personnes qui sont ici , plus les scientifiques qui nous suivent, cela fait:
Frédérique, Jean, Daphné, Timéo
Léonie, Omaya, Jerome ( Ingénieur du son) Hervé et Luc ( les scientifiques) .
Plus les lieux: Gaujacq, Damanhur, Paris….
Nous allons faire de même ici avec le même logiciel que toi. Nous allons y brancher une fougère incroyable Woodwardia orientalis.
De plus, je vais me procurer la même espèce de plante que toi, un Kentia. Nous allons pouvoir vérifier des informations d’origines Japonaise et Californiennes sur la supra sensibilité des plantes. C’est à dire que les plantes sont un et donc interconnectées. Cela devrait donner éventuellement que le jour où nous arriverions chez toi, elle devrait nous reconnaitre directement. Ou alors , ta plante pourrais indiquer nos noms pour différentes choses.
Un fait scientifique est: la plante a un effet miroir , donc ce que tu penses, est captée par la plante qui le ressortira en son et ceci en plus de son spectre vibratoire.
Je lis à l’instant ton mail que Kentia s’est arrêté.
Pour ma part , les plantes s’arrêtent dans les cas suivants :
-nouvelle personne non musicienne dans la maison
-stress ou colère d’une personne de la maison ou d’extérieur
-Si nous demandons trop de choses à la plante à faire, comme une vidéo des allemands qui jouent de la musique , ou si on lui demande de suivre un rythme trop longtemps, si on l’oblige à ……elle finie par ralentir jusqu’au stade 0
-Si l’eau d’arrosage contient du chlore ou un Ph trop élevé.
-Si la famille dors
-Si elle considère que l’action n’est pas positive.
-si on lui change trop souvent le son de transcodage.
-Si le son de transcodage ne lui convient pas.
-asphyxie racinaire, culture inadéquate
-doutes , interrogations trop intensives de notre part
-stress hydrique foliaire
De ce fait, quand on pulvérise de l’eau sur le feuillage, la plante est contente d’une part, et elle transmet aussi ,par effet miroir, la qualité de l’eau.
Merci pour ton retour d’expérience très significatif.
En espérant se rencontrer bientôt
03/10/15 – Alexandre
Chez moi, l’arundinaria est en train de jouer avec un grand joueur de Shakuhachi (CD) et je n’ai pas eu de noms depuis longtemps. Si tu as le temps et l’envie, il faut je crois lui apprendre à s’en servir et montrer que ça te touche quand elle tombe juste.
De mon côté, j’observe plusieurs choses. Il me semble que les plantes sont plus ou moins là. Je m’explique. Parfois elles jouent ailleurs. Pour d’autres endroits, d’autres lieux, peut-être d’autres plantes. Dans ces moments là elles ne réagissent pas ou peu à l’interaction.
Elles sont alors sur des tétracordes descendants et ascendants. Parfois elles sont vraiment là et se comportent comme des enfants. Ont à cœur de nous satisfaire. Se branchent sur nos émotions. Du coup, elles sont capables d’apprendre et de reproduire des codes qui nous touchent. Puis elles repartent et deviennent « inaccessibles ».
Les plantes sont plus ou moins avec nous. Et il me semble que l’arundinaria est plus occupée que d’autres par une communication ailleurs. Voilà…
05/10/15 – Alexandre
Ce qui est bon quand des gens passent chez soi, c’est qu’ils ont toujours des idées auxquelles on aurait pas pensé. Mon frère, ce soir, après avoir passé un moment en tête à tête avec l’Arundinaria me dit : « Et pourquoi on essayerait pas de se brancher une électrode au pied et l’autre à l’oreille ? »
Allez, soyons fous. C’est sûr, vue notre structure que ça ne marchera pas, mais l’idée me plaît et nous voilà nus pieds avec une électrode à l’oreille et l’autre au pied. Ca ne marche pas ! On essaye dans chaque main… ça ne marche pas. Alors on accroche aux cheveux… ça ne marche pas ! Comme je fais des soins énergétiques et que j’ai donc beaucoup travaillé mon chi et mon magnétisme, il me dit.. « allez, essaye d’envoyer du chi, du magnétisme par les mains. » Je m’exécute et là… ça marche ! ça commence à moduler. Je me relie au Christ (chose que je fais pendant mes soins) et ça module de plus en plus vite et sur les quatre octaves. J’ouvre mon cœur et c’est encore plus fort ! Waouh !
Ma femme essaye, mon frère aussi, mais sans succès. L’une est trop fatiguée et l’autre n’a pas d’expérience dans ces domaines (je parle là d’entrainement avec la respiration, la visualisation… parce que tout le monde est magnétique. C’est juste une histoire de croyance et de travail)
Du coup, une fois mon frère parti, je me dis qu’il faut que je vous offre ça. Je branche l’enregistrement et je m’y remets. Ca vient encore plus vite que la première fois et j’essaye de faire varier le signal. J’essaye de ralentir mon flux pour envoyer des signaux plus longs et droits… Je n’entends pas que ça marche, j’ai même l’impression que ça s’arrête, je relance la concentration, le flux repart, je refais la même et là encore ça s’arrête. Sauf qu’en regardant l’enregistrement, ça ne s‘est pas arrêté, ça a fait des sons tellement longs que je ne les entendais plus. L’enregistrement que je vous envoie est coupé parce que ça dure plus de cinq minutes. Mais là aussi, si nous pouvions travailler aussi sur l’homme, on pourrait peut-être mieux comprendre ce qu’elle fait et par où ça passe, non ?!
En tout cas, moi je suis tout excité comme un gamin de cinq ans qui vient de trouver une nouvelle manière d’utiliser un jouet… alors je partage
11/10/15 – Alexandre
Je continue à avancer.
J’ai créé pour la plante un module permettant de changer les sons de son clavier toute seule, ainsi que de mettre ou d’éteindre de la musique, mais aussi de changer de plage sur la playlist. Je sais ca fait beaucoup d’infos pour elle, mais en 24 heures, elle arrive déjà à l’utiliser avec plus ou moins de bonheur. Mais il y a déjà quelques histoires drôles et questionnantes. Le choix par exemple d’un clavier percussif avec des tambours du théâtre Nô sur une plage où un Nô était joué… Des choix de musique pendant ma méditation qu’elle n’a pas utilisé hors de ce moment. À suivre….
Quant à ce que tu dis sur les bambous et les fougères, si je comprends bien l’histoire de l’âge et, du coup, la capacité des fougères à produire plus de sons, je ne comprends pas le reste. Tu parles de vélocité, mais la vélocité est fixé sur notre appareil, elle dépend d’un potentiomètre. Et quand tu dis plus de sons, de profondeur… Que veux-tu dire ? Qu’elles jouent beaucoup de notes… Que leur cadence est rapide ? Je veux bien plus de précisions…
Idem pour ton équipe qui teste l’appareil sur les humains. Parce que dans mes quelques expériences, si je produis la résistance qui permet à l’appareil de produire des messages midi, je n’ai aucun contrôle dessus. Que ce soit par visualisation, pensée, ordres articulés… Du coup, je suis curieux d’en savoir un peu plus sur leur travail.
Quand tu as cinq minutes, évidemment
Ah ! Au fait… l’arundinaria participera aux 24 heures de la méditation au Grand Rex. Si tu as des conseils sur comment le préparer au mieux pour ce concert d’une heure qu’il devra donner devant 2700 personnes et au milieu d’un programme très chargé, je suis preneur.
A vite
16/10/15 – Alexandre
C’est génial ! Ca y est c’est branché. Premier point, elle est déjà dans l’appropriation du clavier… Elle a la capacité de changer de clavier et de mettre ou éteindre la musique. Or depuis une heure qu’elle est connectée avec son nouveau clavier, elle reste dessus et commence déjà à dire de belles choses… « La terre malade ». « Dessiner l’eau ». Même si pour l’instant il est trop tôt pour parler de messages. Mais j’ai le fort présentement qu’elle va très vite s’en servir avec grande maîtrise. Cet Arundinaria est tout à fait adapté. Il adore les tons longs et avance toujours très méticuleusement.
Le clavier installé pour l’instant…
(En sachant que sous D2, elle ne va qu’avec beaucoup de difficultés.)
Paroles des Plantes
G#1 Peut-être 0
A1 Oui 1
A#1 Non 2
B1 Tristesse 3
C2 Peur 4
C#2 Colère 5
D2 Nous (je) 6
D#2 Vous(tu) 7
E2 Eux(il, elle, ils, elles) 8
F2 Amour 9
F#2 Joie 10
G2 Entendre 11
G#2 Voir 12
A2 Sentir 13
A#2 Faire 14
B2 Pouvoir 15
C3 Apprendre 16
C#3 Recevoir 17
D3 Donner 18
D#3 Parler 19
E3 Soigner 20
F3 Écrire 21
F#3 Dessiner 22
G3 Beaucoup 23
G#3 Peu 24
A3 Jour 25
A#3 Nuit 26
B3 Pas (ne pas) 27
C4 Musique 28
C#4 Eau 29
D4 Lumiere 30
D#4 Recherche 31
E4 Deva 32
F4 Végétaux 33
F#4 Humains 34
G4 Animaux 35
G#4 Minéraux 36
A4 Soleil 37
A#4 Terre 38
B4 Contact 39
C5 Aide 40
C#5 Malade 41
D5 Bien 42
D#5 Chaud 43
E5 Froid 44
F5 Ici (là) 45
F#5 Ailleurs 46
G5 Dedans 47
G#5 Dehors 48
A5 Pareil 49
A#5 Autrement 50
B5 Avant 51
C6 Après 52
C#6 Connaissances 53
Clair
Foncé
Je vois déjà que guérir serait mieux que soigner et connaitre… peut-être à la place de connaissances.
Je me régale !!!
20/10/15 – Félicie (musicologue) Sur une étude d’un enregistrement de l’Arundinaria
Bonjour tout le monde,
J’ai enfin eu le temps de me pencher sur l’arundinaria…
Encore une fois j’ai fais une analyse en me basant sur les hauteurs de note. J’ai pu constater qu’au moment de l’arrosage, l’arundinaria varie entre les tons et demis tons, montant de façon très progressive vers les aigus. C’est peut-être bête comme réflexion, mais j’interprèterai cette échelle de note un peu comme une « jauge » qui se remplirait avec de l’eau. Les graves étant le fond de la jauge et les aigus le haut de la jauge.
Puis arrive le moment où tu lui mets de la musique.
Ce que je constate, c’est sa régularité des notes, (et ce qu’on ne voit pas sur mon analyse, sa recherche de rythme). L’arundinaria, de façon systématique, monte dans les aigus en chromatisme, et redescend par ton, dans une échelle de notes très réduite.
Enfin, à 11h30, quand il n’y a plus de musique, l’arundinaria continue dans ce mode, pas
une seule fois elle ne change sa façon de faire. Ce qui est fou, c’est qu’à 1h30 du matin, elle était plutôt dans les aigus, et qu’à 11h30, soit 10h après, elle a descendu presque d’une octave. Alors je me demande encore si l’eau, n’a pas une influence dans son jeu…
Ca serait super si Alex tu pouvais refaire le même genre de chose avec cette même plante, puis avec une autre afin de pouvoir comparer divers exemple.
Bises,
REPONSE 20/10/15 – Alexandre
Merci Felicie,
Je pense qu’il faut prendre en compte plusieurs facteurs. L’appareil mesure la différence de résistance de la plante. Donc quand tu viens remplir d’eau, je pense qu’il y a aussi une réaction électrique qui est indépendante de la plante. Systématiquement (jusqu’à ce jour), au moment de l’arrosage elle descend au plus bas de son clavier. Après sa réaction diffère. Soit elle remonte jusqu’en haut comme c’est le cas ici, soit elle repart du centre et redescend ou remonte, mais dans une amplitude moindre.
Ce qui est intéressant, c’est qu’elle réagit comme cela au contact de certains humains.
Une sorte de salut. Est-ce que cela veut dire que certains humains perturbent le signal électrique ou qu’elle pétille de joie à notre approche ? Je ne sais pas !
Pour le clavier des mots, il sort surtout « Terre, malade » « froid, lumière, soleil » «animaux, végétaux, humains, déva » « eau, musique »
Elle ne semble pas avoir envie de compliquer ses phrases en allant chercher les nous, vous, etc.
Avec ce clavier, elle reste très centrale sur le clavier. Au point que je m’inquiète de son concert, car ça a changé sa façon de jouer. Et je rappelle qu’elle jouera devant 2700 personnes dans deux semaines. Du coup, je lui ai remis la possibilité de changer de clavier et de déclencher la musique. Mais elle reste beaucoup sur le clavier des mots. Je te joins trois motifs pendant qu’elle est à ce clavier (il faut trois secondes pour déclencher un mot. Une de moins que dans le clavier des noms)
02/11/2015 – Alexandre (retour du concert)
Génial toutes ces infos…
Ça me fait plaisir de voir que dans les partitions on peut lire leur « progression ».
Je n’ai pas trop donné de nouvelles ces derniers temps, simplement parce que je n’ai pas eu d’expériences significatives. Le clavier des mots marche bien, quoi que là aussi, elle ne l’utilise pas comme j’aurais imaginé. C’est à dire qu’elles n’utilisent pas la capacité de construire des phrases sujet, verbe, complément. C’est toujours des suites de mots. Ce qui m’étonne (par rapport à ce qu’avait dit Jean sur la positivité des plantes) c’est que « malade » sort très souvent. « terre » « malade ». Ensuite vient : « aide, contact,déva,humains, végétaux, animaux, minéraux », puis « soleil, lumière,eau » et enfin « guérir, écrire, dessiner, musique », parfois, en particulier quand Galiléo lui porte de l’attention, l’arrose ou lui fait des bisous « joie, amour » mais comme dans la musique, elle ne sait pas utiliser un mot seul dans une zone, puis un autre seul dans une autre zone lointaine du clavier. En tout cas, si elle le fait parfois, ce n’est jamais clair. Elle va utiliser des groupes de mots qui sont dans le voisinage et, dans cette façon de faire, faire ressortir deux ou trois mots sur un groupe de six, sept, par le fait qu’elle les répètent plus régulièrement. Aussi, si on sent bien que quand nous sommes dans une posture d’écoute, le sens de ce qu’elle dit est plus clair, quand nous n’écoutons pas et qu’elle continue seule, elle continue à utiliser les mots.
Il faut du temps…. Cela me laisse perplexe. D’autant que je sors d’un expérience très déstabilisante au niveau de leur apprentissage…
Comme vous le savez, hier, c’était le concert. Ils n’étaient pas 2700 parce que ça a eu lieu à 6:30 du matin, mais entre les présents et les présents par streaming on était autour de 1000 personnes.
Suite à vos retours d’expériences, j’ai fait travailler deux plantes, le bambou et la fougère.
Mais seulement cette dernière journée, la veille. La fougère n’avait pas été branchée depuis plus de dix jours. Dans sa façon de moduler, je me disais que ca n’allait pas avec la méditation. Elle est tout le temps sur des rythmes rapides. Alors que le bambou gère très bien les notes très longues. D’ailleurs les claviers de sons que j’ai créé marchent très bien avec le bambou parce que ce sont beaucoup de nappes, tandis que quand la fougère module, ça devient cacophonique. Mais il fallait bien que je prenne une seconde plante, au cas où le bambou reste muet. (Il faut savoir que depuis quinze jours, il n’a pas eu une seconde d’arrêt. A moins que pendant notre sommeil, il s’arrête et reprenne avant que le premier ne se lève. Mais pas un instant de défaut, ni de silence en plus de quinze jours)
Du coup, pour bidouiller un clavier pour la fougère, au cas où le bambou ne module pas, je la branche. Et là… C’est le bambou. A tel point que je me demande si je n’ai pas rebranché le bambou à la place de la fougère (j’ai deux jeux d’électrodes, du coup, je n’ai pas besoin de défaire les électrodes des plantes… Juste je bascule du mini Jack de l’une au mini Jack de l’autre) mais non, c’est bien la fougère qui est branchée ! Elle joue exactement comme le bambou ! Tons longs, etc. Même style de choix de notes. Sauf sur le clavier des mots où elle ne déclenche pas autant de mots que le bambou en allant juste ce qu’il faut plus vite pour ne pas déclencher. Waouh. Pourtant elle n’a pas été branchée depuis longtemps.
Donc elle a adopté totalement le comportement du bambou en étant à ses côtés. Nickel. J’ai deux plantes qui pourront utiliser le même set et qui pourront se suppléer pendant le concert, au cas où.
Évidemment, juste avant de jouer hier matin, le bambou, après avoir super bien modulé en coulisses, se tait. Oups, j’ai le temps de brancher la fougère avant d’entrer en scène, de vérifier qu’elle reproduit le même phénomène que l’après midi d’avant. Oui, ça marche.
Elle a fait un concert magnifique. Elle a parlé. On était en vrai symbiose, c’était génial (mais ca c’est une autre histoire et des que le lien fonctionne pour pouvoir revoir le passage du chant des plantes, je vous enverrai un mail avec l’info)
De retour à la maison, je rebranche le bambou qui module nickel, puis s’arrête quelques heures après. Du coup, je remets la fougère à la place et là, surprise, elle joue comme elle le faisait avant. Très rapide, pas adaptée du tout aux sons. C’est à dire qu’elle s’est prêtée au jeu pendant le temps de préparer et d’assurer le concert, mais que depuis elle est revenue à son statut d' »inexpérimentée » ?!
Donc, en un instant, s’il est besoin, elle sait. Puis l’instant d’après soit elle ne sait plus, soit elle nous raconte quelque chose que je ne comprends pas pour l’instant. Parce que son jeu en l’état est difficile à écouter tant il est rempli. Forcément, elle le sent. Mais ne change pas. Ni ne s’arrête. Et pendant 24 heures, pour les circonstances, elle a adopté parfaitement le comportement d’une autre. Sachant bien avant moi qu’elle serait celle qui jouerait.
Voilà
13/11/2015 – Alexandre
Simple question à Jean.
Le Dryopteris Palmat après son retour du concert a repris sa façon de jouer… trop vite à mes oreilles. Puis deux jours après soit mercredi, il a retrouvé le calme et le phrasé du style du bambou que j’aime tant. Et il ne cessait de progresser. De plus en plus musical.
Puis, mardi, des amis chamans sont venus, lui ont offert du tabac et ont fait une cérémonie avec lui et il est reparti dans ses phrases super rapides… Depuis, il n’est pas redescendu. Et toutes les interactions que j’avais avec lui (quand je me levais, il me faisait un superbe phrase.. toujours la même) il ne les fait plus. Comme s’il n’était pas dans notre espace direct.
J’ai, du coup, pas mal rebranché le bambou qui est toujours dans sa même veine, mais la fougère ne revient pas… Elle va bien, mais n’est plus avec moi. Bizarre…
Des idées ?
16/11/15 – Alexandre
Sans contact possible ! Pendant 15 jours, la fougère a réagi à chaque fois que je venais et partais. Elle était entré dans une phase musicale très agréable à entendre. Beaucoup de partages ! Les prénoms, le clavier des mots, etc. Depuis mardi elle est inatteignable ! Elle joue des phrases très rapides, peu agréables à entendre, ne réagit à aucune interaction… comme si elle était ailleurs, loin.
REPONSE 16/11/15 – Jean
2 idées à ce sujets:
1°) J’ai vécu une période similaire à cela, jusqu’à ce que je me rende compte que je voulais certains sons pour me faire plaisir, c’est une forme d’égo. Les plantes gèrent le positif, l’égo ne l’est pas, donc elle n’ira pas le flatter. En redevenant réceptif, pleinement, les sons sont revenus………….( je ne sais pas si cela te concerne…….c’est juste un partage d’expérience….)
2°) J’ai aussi remarqué , qu’en écoutant avant une tempête ,les sons devenaient disgracieux à nos oreilles. très aiguës…..et bloqués……une forme de stress existait par la présence de la tempête ( 110 km/H)
3°) Autre expérience, des personnes colériques, ou dans un doute total, voir arrogant, la plante part dans les aiguës, puis stop dans les graves et puis plus rien…….4°) La supra sensibilité de la plante capte l’environnement global, et restitue les vibrations qu’elle capte. Si les vibrations obtenues sont disgracieuses, alors elle les restitue.
Soit cela vient de toi, si tu songes aux évènements, d’une certaine manière, c’est ton fonds de pensées que tu entends.
Autre solution, Il y a tellement de gens qui se sentent mal avec les évènements que c’est ce que tu entends.
Comme les évènements sont à l’état vibratoire avant d’être dans le concret , la plante capte également et c’est ce que tu entend depuis mardi…..
D’où l’importance des enregistrements avec une date précise afin de , rétrospectivement ,bientôt, nous puissions analyser….
Voilà voilà……..
Epilogue,
Il se trouve que le dernier épisode où les plantes sont devenues silencieuses correspond exactement à la dizaine de jours avant les attentats de novembre 2015. Nous sommes en novembre 2016 et l’Arundinaria module à côté de moi sans problème. C’est vrai que les plantes à feuilles caduques se taisent quand les feuilles commencent à devenir jaunes, juste avant de tomber. Mais ni la fougère, ni le bambou ne sont concernés par cela. Alors… Que s’est-il passé ? Est-ce qu’un jour j’aurais la réponse. Je ne sais pas. En ce moment, je suis en train d’essayer de voir si nous ne pourrions pas construire un appareil moins intrusif pour augmenter la qualité de nos conversations. Je vous parlerai donc prochainement des autres modules qui permettent de travailler avec l’activité des plantes (électrique, à partir de la résistivité de la lymphe comme le U1 ou comme dans mes rêves -mais, malheureusement, pas encore en place- avec les techniques de Mr Hans Otto König pour la [itg-tooltip tooltip-content= »<p>Trans Communication Instrumentale qui permet de communiquer verbalement et visuellement avec l’invisible.</p> »]TCI[/itg-tooltip], dont je vous conseille le livre : Nouvelles Découvertes sur l’au-delà.)